Les épisodes récents de canicules, de sécheresse ou encore d’inondations dans notre région montrent à quel point nous sommes vulnérables face au changement climatique. Les rapports successifs du GIEC dressent un constat sans appel sur les conséquences dramatiques de la pollution industrielle sur le climat. La Ville de Marseille et la Mairie du premier secteur sont pleinement conscientes de ces enjeux, notamment en ce qui concerne les mobilités dans notre ville. Les municipalités précédentes ont fait la part belle à la voiture, menant notre ville dans une impasse : embouteillages, pollution atmosphérique et sonore, dangers de la route. 

Nous voulons développer massivement les déplacements en transports en commun, en vélo, ou à pied. Nous appelons régulièrement la Métropole à intensifier tous ses investissements pour combler le retard en termes d’infrastructures de transports en commun (tramway, métro, Bus à Haut Niveau de Service), en termes de pistes cyclables sécurisées et séparées de la circulation automobile, et d’aménagements pour les cheminements piétons.

Un seul mot d’ordre dans notre action politique locale de mobilités : développer toutes les alternatives à la voiture pour redonner du choix et de la liberté aux Marseillais dans leurs déplacements quotidiens.